Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués

Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés,
et je vous donnerai du repos.
Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions,
car je suis doux et humble de coeur;
et vous trouverez le repos pour vos âmes.
Car mon joug est doux, et mon fardeau léger.
Matthieu 11:28-30

De temps en temps, j'ai vraiment besoin de cette Écriture! Peut-être que vous le faites également. Généralement, la vie est bonne. Les jours suivent, l'un après l'autre, sans traumatisme et tout va bien jusqu'à ce que, en un éclair, ce n'est pas le cas! Cela pourrait être pour une raison quelconque, mais soudain, la vie devient lourde. Peut-être que c'est la maladie, la mort, une crise familiale, un ami cher qui a besoin de plus que les mots peuvent offrir.

Parfois, la douleur est plus que physique. C'est-à-dire que nous devons donner la douleur à notre Dieu. Quand nos vies deviennent trop stressées et nous ne savons pas comment faire à qui nous tournions-nous? Ces moments où j'ai pu abandonner et donner à Dieu étaient les moments de ma vie quand j'étais réellement rafraîchi. Cela ne fait pas mal pour que ma famille vincentienne puisse partager le fardeau aussi! Je sais qu'ils seront là avec moi, comme je suis avec eux, dans la prière et l'action.

À propos de partager des charges et d'être des amis:

Les vincentiens sont invités dans les foyers des personnes qui ont besoin de notre amitié. Personne ne devient un ami instantané; Parfois il faut plusieurs rencontres. Il exige toujours que les gens sont assez à l'aise pour s'engager les uns avec les autres. De nombreux amis qui ont besoin de nous ont eu des expériences négatives avec des organismes gouvernementaux dans leurs bureaux. C'est l'une des meilleures raisons pour lesquelles nous ne les appelons pas «clients». Plutôt qu'ils sont «nos voisins, nos amis», et c'est pourquoi nous les visitons chez eux, à moins qu'il n'y ait une raison impérieuse pour laquelle nous ne pouvons pas le faire. La visite à domicile est notre activité de signature parce que nous voulons être considérés comme des amis, et non dans une autre agence. Bienheureuse Rosalie Rendu a enseigné aux premiers membres à visiter dans les foyers de leurs voisins et à partir de ce moment-là, c'est venu notre chemin. Bienheureux Frédéric continuait visiter les maisons jusqu'à ce qu'il soit trop malade pour continuer. Notre nouveau président général fait des visites à la maison quand il ne voyage pas dans le monde. Est-ce que je peux faire moins?

Visiter les maisons n'est pas facile. Les amis que nous visitons sont Christ pour nous et ils nous bénissent, en Son nom, même lorsque nous trouvons les visites difficiles.

Mais qu'en est-il de ceux qui n'ont pas de maisons ou ceux dont les maisons sont hostiles ou même dangereuses? La Société aux États-Unis déclare dans ses statuts: «Les visites à ceux qui en ont besoin devraient être faites dans leur environnement ...» Les visites à domicile sont la manière préférée, mais nous visitons où nous pouvons. Nous allons à leur place, où que ce soit. Nous trouvons des moyens de servir, car aucun travail de charité n'est étranger à la Société.

En prolongeant la main de l'amitié, nous essayons d'être Christ pour nos amis. Nous prions pour qu'ils trouvent le chemin du joug facile pour que leurs charges deviennent plus claires. Et nous continuons, en Son nom.

Denise